FILMS ABICYCLETTE VOYAGES

Entrez dans l'aventure par nos réalisations vidéos !

 


L’équipe Abicyclette, accompagnée de quelques amis, s’est lancée le pari, pour célébrer ses 7 ans, de rejoindre la ville de Sète en 7 étapes depuis la Bretagne où l’entreprise est installée. Découvrez le film de la 1ere étape, des bords de Loire à la Vallée de la Creuse.

EN SELLE POUR LES 7 ANS D’ABICYCLETTE !

Cette année marque le 7e anniversaire d’Abicyclette. 7 ans de bonheur à vous accompagner dans la découverte des plus belles routes et sentiers pour redécouvrir notre monde à vélo. L’équipe Abicyclette, accompagnée de quelques amis, s’est lancée le pari, pour célébrer ses 7 ans, de rejoindre la ville de Sète en 7 étapes depuis la Bretagne où l’entreprise est installée.

Le premier Manche Méditerranée 1200 est parti de Saint-Malo le vendredi 28 avril 2017.

Nous vous invitons à rejoindre leur Échappée Cycliste pour quelques kilomètres sous le signe de la convivialité, du sport et de l’esprit d’aventure !

Remerciement :
Réalisation : Kévin Leduc – L’Imagerie Générale
Partenaires techniques : TwoNav – Affysport Hydrenergy 4

 


Partez avec nos moniteurs VTT, Adrien, Nicolas, Pierre et Fabien, à l’assaut des Monts d’Arrée en Bretagne. Un film réalisé par Kévin Leduc.

Sur les sentiers ludiques et techniques du Massif Armoricain, les 4 compagnons d’échappées s’amusent à VTT entre Roc’h et forêts. Paysages naturels et sauvages, un espace de jeu immense dans lequel la force des éléments vous transporte et vous ressource en profondeur. Ne l’oubliez pas, les roues foulent ici une terre de légendes…

Remerciement :
Réalisation : Kévin Leduc
Musique : “Thin Walls” – Then What – Balthazar
Partenaires techniques : TwoNav – Affysport Hydrenergy 4

 

Pour découvrir les Monts d’Arrée, découvrez la traversée du Massif Armoricain en 6 jours en reliant Morlaix à Quimper : Voyage Manche – Océan à VTT


Dans le cadre de l’Anjou Vélo Vintage 2013 et avec le soutien du Grand Saumur, l’équipe ABICYCLETTE, sa famille et ses amis, se sont réunis pour fêter l’événement. Un film réalisé par Kévin Leduc.


Dans le cadre de l’Anjou Vélo Vintage 2013 et avec le soutien du Grand Saumur, l’équipe ABICYCLETTE, sa famille et ses amis, se sont réunis pour fêter l’événement et profiter des bords de Loire, réservé aux vélos pour l’occasion. Découvrez ou redécouvrez en mode vintage l’un des plus beaux villages de France Montsoreau, Turquant, village troglodytique, les vins et spécialités du Val de Loire.

Remerciement :
Musique : “New Different Beauty” – SUPER VIOLET – soundcloud.com/super-violet
Créations textiles et conseils costumes : Elise Tsikis : http://www.elisetsikis.com/
Visitez le Grand Saumur : ot-saumur.fr/
Domaine Viticole Bruneau à Turquant : domaine-bruneau.com
Courrier de l’Ouest : courrierdelouest.fr/saumur


 

Lors d’un week-end entre Saint-Malo et le Mont Saint-Michel, un de nos groupes s’est prêté au jeu de la caméra dans leur vacances à vélo. Un film réalisé par Kévin Leduc, assisté de Maxence Jampierre.

Lors d’un week-end, un de nos groupes s’est prêté au jeu de la caméra dans leur vacances à vélo.
Entre Saint-Malo et le Mont Saint-Michel, un itinéraire cycliste sur les bords de la Rance et sur la Côte d’Emeraude qui offre beaucoup de curiosités géographiques et patrimoniales.
La météo a été bretonne, mais la convivialité, la bonne humeur et les plaisirs gastronomes ont largement réconforté tout notre petit groupe de cyclo-voyageurs !

Remerciement :
Un film réalisé par Kévin Leduc, assisté de Maxence Jampierre
Soutien de la réalisation : Laura Le Merrer ; Jérémy Bleunven ; Sophie Marc
Musique : Klark (James Mireau) : Heart Down Low – 2012 – James Mireau
Partenaire technique : TwoNav https://www.compegps.com


 

Au bout du monde – TRAIL IN BREIZH
Sur le GR34 jusqu’à la pointe du Raz, les traileurs courent jusqu’à la tombée du jour ! Film réalisé par Danaë C. Alkinomial, assisté par Kévin Leduc et Jocelyn Denis.

GR34, LE SENTIER DES TRAILEURS

 

En ce début de Mai, les jambes de huit de mes amis, les miennes ainsi que les pattes de notre fidèle compagnon Trap’, nous démangeaient. Il était temps de se décrasser avant une saison estivale qui s’annonce forte en émotion.

Alors je me suis permis de nous concocter un petit programme de reprise :

 

200Km de Bretagne ! 200Km par le sentier des douaniers, le GR 34 côtier, aux paysages aussi somptueux qu’instables, à se partager en courant !

 

Dans nos bagages se sont ajoutés trois autres amis qui ne supportent pas de se déplacer sans leurs grands objectifs… Ils nous promettent des images inoubliables !

 

Bilan de ce grand week-end (du 3 au 7 mai), des sentiers sableux et rocheux ne cessant jamais de monter et descendre parcourus pendant près de cinq heures par journées. Ils nous ont menés du Cap de la Chèvre (Pointe sud de la Presqu’île de Crozon) à la sublime Pointe du Raz, le Pen ar Bed*, le bout du monde de notre vieux continent.

Les étapes de nos trails journaliers nous ont aussi amené sur l’un des sommets bretons, le Menez-Hom ; à travers des forêts enchanteresses jusqu’à la cité de Locronan ; ou encore sur le port de Douarnenez, à la rencontre de voiliers de courses.

 

Un grand merci et un grand bravo à Aurore, Danaë, Elise, Antoine, Ben, Fab, Flo, Jocelyn, Kevin, Nico, Sylvain et Trap’ qui ont participé à cette aventure au rythme effréné !

 

*Pen ar bed (du breton) : Bout du monde 


 

Les guides TERRAVTT en repérage en Ecosse, résultat : 400KM, 7000m de dénivelé positif, de franches parties de rigolade, de bonnes sensations, de belles histoires humaines… Un film réalisé par Danaë C. Alkinomial.

400KM MTB IN THE HIGHLANDS

Itinéraire : Fort Williams vers Inverness par la rive nord du Caledonian Canal et Loch Ness en 3 jours, puis Inverness vers Fort Williams par la rive sud du Loch Ness puis traversée des montagnes jusqu’à Laggan. Ride sur le Laggan Wolf Track et sur le Bike park de Fort Williams

 

Nos guides vous en parlent :

Nico : “L’Ecosse ?! Ce n’est pas encore assez au nord pour moi, ai-je pensé la première fois que l’on en a parlé… à vélo ? ok ! on part quand ?

Récapitulons… vélo, casque, sac, corde, leatherman, rythme cardiaque qui s’accélère, et nous voilà déjà sur la Great Glen Way au cœur des Highlands !

C’est une aventure incroyable que nous avons vécu, j’avais depuis gamin avec mes premières images de l’Ecosse, offertes par Mel Gibson, eu l’envie de fouler ces terres et quoi de mieux qu’avec nos destriers modernes ! C’est comme une nouvelle étape de franchie, dans nos envies, celles qui nous mènent toujours en avant, toujours plus loin, plus dure et plus intense. Cette année la famille c’est agrandie, je me suis découvert une grande sœur 😉 !

Partir à deux roues dans le nord de l’Ecosse c’était se préparer a une aventure présentant des contraintes physiques et mécaniques. Chaque prise de risque se révélant être un danger pour notre santé et celle de nos montures. Tout ceci ne cherchant à faire plus qu’un, tel un orchestre avec ses instruments : la mécanique au rythme des jambes. Chaque descente, chaque guet, chaque pierre devient un défis. La moindre erreur peut coûter chère… Je n’ai jamais autant parlé à mon vélo que sur ces 400km… le whisky surement…

 

Fab : “Scotland, le pays des Scots, la terre des Pictes, qu’ai-je donc à voir avec ce territoire tant convoité, lieu de tant d’affrontement au cours notre ère ? Pourquoi un sentiment de profond attachement sommeil en moi ? Après de nombreux voyages sur la terre des Angles, il était temps de pousser plus au nord découvrir ces nouvelles contrées qui paraissaient encore bien sauvage. A seulement cinquante kilomètres de Glasgow, j’ai déjà pu prendre l’ampleur des espaces qui allait s’offrir à nous 8 jours durant. Sur la route, au bord de notre premier loch, j’ai déjà pu comprendre l’attrait de la région. Un rayon de soleil nous éclairait en ce début d’après-midi. Il offrait un joli reflet sur l’eau. Il offrait aux arbres qui prenaient leurs premières couleurs automnales, une robe princière. Cernées de toute part par les massifs montagneux, les quelques maisons bordant le loch, semblaient être de vrais havres de paix.”

 

Danaë : “Je revenais d’Islande et j’avais envie de repartir en montagne pour tempérer le retour à la réalité, quand ces 3 cowboys m’ont proposé de partir à l’aventure avec eux en Ecosse.. Encore un peu le grand Nord, bien familier à présent, mais surtout un grand plongeon dans l’inconnu, pas seulement du pays mais aussi de ces 3 “frères” se connaissant autant que leurs destriers. Un pari sur l’humain que tout irait bien, un défi physique et mental car mon niveau était quand même modéré en comparaison, surtout pour les dénivelés un peu légers par chez moi, et avec un sac de 10kg de nécessités de base, ça change tout dans le cadre d’une itinérance d’une semaine entière. Encore plus en tant que femme. Bon et forcément, filmer par dessus le marché… C’était un peu kamikaze, mais on se jette dans le vide, on tente, on vit, on se dépasse ou on stagne et on apprend rien sur soi ou le monde. Et c’était le sentiment que l’humain porterait les muscles déjà en confiance et soutiendrait le sac. Que les rires et les échanges feraient la musique de tous nos soirs fièrement arrivés au point de chute de l’étape. Et puis ce déclic qui fait que la peur est bien plus dangereuse en descente que le lâché prise et ce mode warrior/fury que j’aime voir se déclencher comme dans les jeux vidéos : l’instinct !

J’aurais aimé prendre tous ces instants dans l’objectif où nous étions concentrés dans l’effort, partions dans une jungle de bruyère mangeuse de jambes, dans les culs de sacs, les insolites échanges de barbus et les cols qui n’en finissaient pas… des moments forts ! Et quand on arrive au dernier jour, un peu maussade de la fin du périple, je me suis dit : “je suis entière et plutôt en forme sans rien de cassé et en plus j’y suis arrivée, avec un film sous le bras à monter”. Tout est question de point de vue mais c’était un grand et beau défi à relever par ici.

Ce qui me reste souvent, outre une grande affection pour ce trio et leur grande famille, c’est ce petit gimmick :

“j’y vais mais… j’ai peur. J’ai peur mais… j’y vais” ahahah !”

 

Pierre : Et voilà, les quatre VTT sont chargés, les VTTistes aussi, c’est le grand départ pour un voyage d’une vingtaine d’heures en direction de Fort William, la capitale du VTT écossais située au sud ouest du Loch Ness…

Nous sommes arrivés ! Après avoir embarqué à Cherbourg, traversé la manche pour débarquer à Pool, remonté l’Angleterre et dormi à Glasgow, nous voilà à Fort William où se déroule ce jour, comme par hasard, une randosportive VTT…

Nous sommes prêts, nos montures aussi, c’est parti pour huit jours de raids VTT et environ 400 Km à boucler. Objectif, parvenir à repérer des sentiers qui pourront par la suite faire l’objet d’un séjour “Traveling Experience – TERRAVTT”. La première moitiée du voyage nous mènera à Inverness, ville de la côte est de l’écosse, située à une centaine de kilomètres au nord est de Fort William. Pour cela nous devrons rejoindre la petite ville de Fort Augustus, porte d’entrée du grand Loch Ness, dont nous longerons sa rive. A Inverness, demi-tour, nous regagnerons Fort William en longeant, dans un premier temps, la rive sud du Loch Ness, avant de s’enfoncer et de franchir quelques highlands du Cairngorms. Le retour s’est fait le long du Loch Laggan et Roy Bridge.

 

Retour en textes et en images sur les moments fort de cette aventure !

Cette aventure fut avant tout celle d’un groupe, un groupe inédit.

« Les trois frères » sont une nouvelle fois réunis, mais cette fois si une « petite » nouvelle entre en jeu. Ce second raid me prouve à quel point le partage du voyage est important pour moi. Ces dix jours furent remplis de fous rires, d’efforts, de découvertes qui ne peuvent être vécu seul…

…Six jours que nous sommes sur nos montures, déjà plus de 250 km, 5 heures de VTT et 50 Km pour cette seule journée, et nous voilà dans un cul de sac ! Le chemin qui nous semblait bon sur la carte nous amène jusqu’à une grille. Celle-ci nous empêche d’accéder à un barrage que nous pensions être un pont permettant de traverser la rivière. Nous sommes trempés et fatigués. Après une courte discussion nous décidons de rebrousser chemin, mais la route est encore longue. C’est sans compter sur la force du groupe ! Je me rappellerais longtemps du rythme que nous avons tenu sur cette longue route qui nous menait jusqu’à notre prochaine auberge. Nous nous sommes relayés sur une dizaine de kilomètres ; face à cette pluie fine, c’est l’union qui permettait à chacun d’avancer toujours plus vite, face au vent ou à l’abri des compagnons ! Quelle satisfaction d’arriver à l’auberge, quel bonheur de nous regarder dans les yeux et de se féliciter d’avoir terminé une étape de 70 Km…

… Et dire que seulement quelques heures auparavant le coup de gueule de la semaine avait lieu. Qui dit coup de gueule, dit « TSIKIS » (c’est mon nom). Cela faisait un petit moment que je me retenais sur une situation au sein du groupe qui me chagrinait. Et au lieu d’en parler calmement, je me suis un peu énervé… je dirais, comme d’habitude. Mon caractère autoritaire peu s’avérer être difficile à gérer par moment. Une chose est sûr, c’est que mes deux potes savent eux le gérer pour moi ! Cette épisode, qui reste un moment important du séjour, me conforte dans ma conviction que mes potes Nico et Fab sont indissociables des prochaines aventures de ce type et bien sûr du projet « Tibet ». Encore une fois, le groupe sait répondre aux difficultés qu’elles soient sportives ou autres.

Ce que j’aime dans ces voyages c’est aussi ces moments de solitudes, de regards sur soi-même, de réflexion dans l’effort. On est en groupe mais on reste le seul à appuyer sur ses propres pédales. Comment oublier cet effort solitaire, face au vent, dans ce col routier qui nous ramenait vers Fort Augustus ou encore ce long col pierreux au cœur de ce “No man’s land” typiquement Écossais ? Les minutes sont longues, les cuisses brûlent, le rythme est constant, le souffle fort et le regard s’éparpille entre le paysage et les roues de sa monture. Alors ça cogite, on pense à soi, à garder son rythme, à ne pas se cramer parce que les prochains jours seront encore plus durs ; on pense à ses potes devant ou derrière et on tourne la tête pour rechercher un regard qui nous confirme que tout va bien. Et puis la tête dans le guidon, on songe à des choses diverses, la famille, les amis et à tout ces moments qu’on a déjà traversé dans cette aventure.

Souvent ce moment de solitude se termine par un paysage somptueux qui s’offre à tous. Les paysages ; ils sont en grande partie responsables de nos envies de voyages. On se retrouve bouche bée face à eux et en profite simplement et respectueusement.